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jacques cappelle célèbre ses 50 années chez vandelanotte

Témoignage d'un Collaborateur

Jacques Cappelle célèbre ses 50 années chez Vandelanotte

Travailler chez Vandelanotte, c'est travailler dans un environnement familial porté par trois valeurs importantes : l'engagement, la créativité et la croissance. Jacques Cappelle est également imprégné de cette vision. Et cela depuis le tout début. Le 2 novembre 2020, cela fera exactement 50 ans qu'il a commencé son premier jour de travail chez Vandelanotte. Et il n'y a pas grand-chose qui lui arrive. L’histoire d’un collaborateur expérimenté.

Faut-il encore présenter Jacques Cappelle ? En fait, ce n’est plus vraiment nécessaire, certainement en ce qui concerne les collaborateurs des sièges de Flandre occidentale. Ce collaborateur de Wevelgem en est à sa 50ième année de service dans l’entreprise et, même à 70 ans, il ne parle pas encore de mettre un terme à sa carrière professionnelle.

« Les collègues m’ont encore fêté récemment avec un gâteau et un T-shirt personnalisé de mon club de football préféré, Club Brugge et tout le reste, à l’occasion de mon 69e anniversaire. J’ai vraiment apprécié. Officiellement, je suis déjà pensionné depuis mes 60 ans, mais je ne sais pas me passer du travail. J’ai donc assisté à la croissance de l’entreprise, Vandelanotte est - au sens propre comme au figuré - ma famille. Roger, le fondateur, est mon oncle et Hein et Koen sont mes cousins. Tant que je peux suivre l’évolution et la numérisation et aussi le même rythme que la jeune génération, je continue. Même le samedi, cela ne m’a jamais posé problème. »

Jacques Cappelle

Le vilain petit canard

Jacques admet qu’il y a bien eu un moment où il a pensé à changer d’employeur. « En tant que membre de la famille du ‘patron’, on peut être considéré comme un ‘élément étranger’ par les autres collaborateurs, une sorte d’espion. Mais, cela n’a jamais pu peser dans la balance face au sentiment de bien-être que j’ai toujours éprouvé ici. Je suis entré en service en novembre 1970, la veille de l’entrée en vigueur de la réglementation en matière de T.V.A. À l’époque, nous étions encore établis à Wevelgem. J’ai ensuite participé au démarrage des sièges de Bruges et de Veurne. À l’époque, j’étais le quatrième collaborateur repris sur le registre de paie. Aujourd’hui, il y en a beaucoup plus, ... »

Premier mois « à titre gratuit »

Avec toutes ces années au compteur, Jacques Cappelle est une mine d’anecdotes. Nous ne voudrions pas vous priver de deux d’entre elles. « Les nouveaux collaborateurs qui débutent chez Vandelanotte perçoivent une rémunération attrayante et bénéficient d’une formation, d’une assurance hospitalisation et d’une assurance-groupe, de chèques-repas, … des avantages intéressants tous autant qu’ils sont. À l’époque, mon premier salaire s’élevait à 7.000 anciens francs belges, soit 175 euros. Lorsqu’après le premier mois, je n’avais pas encore été payé, je suis allé me renseigner pour savoir comment cela se faisait. On m’a répondu : « Tu nous as coûté plus cher que ton salaire. Je suppose que la génération actuelle protesterait, mais je n’ai pas fait d’histoires. »

Officiellement, je suis déjà pensionné depuis mes 60 ans, mais je ne sais pas me passer du travail. Vandelanotte est ma famille - au sens propre comme au figuré. Jacques Cappelle , Vandelanotte

Peu après, Jacques a eu son baptême du feu. « On m’a envoyé au SPF Finances à Schaerbeek, avec toute la comptabilité sous le bras. Toute la journée, on m’a bombardé de questions en français. À midi, je n’ai rien trouvé à me mettre sous la dent et l’après-midi, j’ai pu continuer mon argumentation dans la langue de Molière. Ce soir-là, je suis rentré chez moi affamé à 23 heures, sans pouvoir compter sur beaucoup de compassion de la part de mon père. Il m’a dit « C’est ainsi que l’on apprend le métier, mon fils ». Lorsque deux semaines plus tard, j’ai à nouveau dû me rendre à Schaerbeek, il s’est avéré que tout le monde parlait le néerlandais sans aucun problème. Ils avaient donc délibérément voulu me tester ce premier jour. Heureusement, j’avais réussi l’épreuve haut la main.

Opportunités

« J'ai toujours pensé que le développement personnel est crucial. Et je le crois toujours. À l’époque, lorsque j’ai voulu devenir associé, l’entreprise n’était pas encore prête pour cela. Aujourd’hui, c’est possible et les jeunes ont pleinement l’opportunité d’évoluer en interne. Cela permet de limiter la rotation du personnel et d’encourager les jeunes talents. Il s’agit du meilleur ‘liant’ pour faire évoluer cette entreprise familiale, avec le soutien de collaborateurs talentueux, engagés et créatifs, chacun avec leur propre spécialisation. »

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