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vandelanotte, c’est aussi une caisse de résonance à chaque saut de croissance

Témoignage d'un Client

Vandelanotte, c’est aussi une caisse de résonance à chaque saut de croissance

“Il n’y a que les meilleurs qui gagnent de l’argent,” entendait Stephan Destrooper de la bouche de son père quand il disait vouloir devenir boulanger. Aujourd’hui, la boulangeriepâtisserie Stephan Destrooper est devenue une institution à Saint-Idesbald (Coxyde) et dans les grands environs. Et les prévisions de croissance continuent de gonfler, tout comme la pâte, avec vivacité. Avec Vandelanotte à nos côtés. “Tout ce qui ne concerne pas directement mon commerce, Vandelanotte le prend en charge. Je peux ainsi porter toute mon attention sur ma fabrication,” indique Stephan Destrooper.

Le métier de boulanger, la famille Destrooper l’a dans le sang. L’arrièregrand-père de Stephan Destrooper vendait des marchandises coloniales à Lo-Reninge, comme du thé, mais fabriquait aussi du pain aux amandes. Ces friandises étaient du goût des touristes anglais présents à La Panne, et, plus tard, son fils reprit l’affaire. Mais, à partir du moment où Jules junior se mit à confectionner des galettes au beurre, la boulangerie cessa ses activités et ainsi, démarra la ‘success story’ de ces ‘lukken’, désignation de Flandre-Occidentale pour les galettes au beurre, que fabrique l’usine de biscuits Jules Destrooper.

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Hector

“Mon père avait constaté qu’à l’école hôtelière “Ter Duinen” il devait rester travailler alors que les autres pouvaient sortir”, raconte Stephan Destrooper. “C’est pourquoi il commença à travailler dans une usine textile. Il envisageait aussi pour moi un avenir dans ce sens; tout comme mon frère qui étudiait pour devenir ingénieur. Mais après avoir vu le film ‘Hector’, je voulus comme Urbanus devenir boulanger. Mon père accepta à la condition de passer tout l’été à travailler chez un boulanger. Et qu’arriva-t-il? Ce n’était pas juste ce que je cherchais, ma nature impatiente, qui m’avait joué des tours à l’école devenait un atout évident pour réaliser de grandes quantités à toute vitesse.

La masse fait vendre

Après une formation à la fameuse école brugeoise ‘Ter Groene Poorte’, Stephan Destrooper travailla trois ans dans des maisons réputées d’Amsterdam, de Paris et de Bruxelles. Ensuite, il acquit, en qualité de chef de production, les subtilités de l’esprit d’entreprise auprès de ses cousins dans l’entreprise de biscuits. À 27 ans, il était prêt à diriger sa première boulangerie. “À Beveren-aan-de-Ijzer, ma femme et moi sauvions de la faillite la boulangerie du village. Après quelques années, nous avions le sentiment de ne pas évoluer assez vite. Quoi qu’il en soit, la masse fait toujours vendre dans notre secteur. Comme nous doutions de nous et de nos produits, nous achetions dans toutes les boulangeries du littoral toutes les tartes et pâtisseries existantes pour les comparer avec les nôtres. Nous comprîmes alors que notre croissance n’était pas freinée en raison du niveau de qualité de nos produits, mais seulement de notre emplacement.”

Votre comptable doit être un visionnaire. Stephan Destrooper , manager

La télévision, comme catalyseur

En 2004, l’émission télévisée ‘Fata Morgana’ fut tournée à Lo-Reninge. Un des défis à relever consista à confectionner un gâteau de mariage de 7 étages. Pour cela, Peter et Patrick de l’usine de biscuits firent appel à leur neveu Stephan. “Ce gâteau, destiné à 10.000 personnes, se composait d’une base de 6 mètres sur 3 fit en sorte que d’un coup, tout le monde trouvait la route de Beveren aande-Ijzer… Mon chiffre d’affaires augmenta de 30 %. Mais les sirènes de la côte continuaient de nous appeler. En 2007, nous déposions nos bagages à Saint-Idesbald, entamèrent une rénovation complète de notre immeuble, où nous occupons, aujourd’hui, 6 personnes. Et quatre ans plus tard, la télévision nous permit de passer à l’étape supérieure. Les melo cakes que j’avais préparés pour l’émission de VT4 ‘De beste bakker van Vlaanderen’, en français, ‘Le meilleur pâtissier de Flandre’, firent mouche, car il fallut acheter une machine afin d’en assurer la production. À l’époque, nous en confectionnions 2.500 par semaine, que vendaient aussi d’autres boulangers de la province.”

Nos gammes choc you! Et gentiel

Stephan Destrooper admet que la croissance n’est rien sans le soutien et la collaboration de son épouse, Catherine, et aussi de son personnel expert. “La boulangeriepâtisserie de Sint-Idesbald continue à être exploitée en mon nom propre. Toutefois, les produits en chocolat sont repris sous l’appellation CHOC YOU! et les pains artisanaux sous celle de GENTIEL. Les membres de notre personnel qui ont de l’ambition peuvent faire partie de cette belle aventure. Pour ce faire, nous ne sommes pas seulement partis à la recherche des ingrédients et des techniques qui ont permis d’obtenir des goûts excellents. Chaque pain a son nom qui se réfère à une personne de mon histoire familiale ou de ma jeunesse. Dans cette gamme, nous avons conçu un petit pain spécial à manger avec les boulettes de viande ‘Balls & Glory’ de Wim Ballieu.”

Destrooper

L’expert-comptable idéal

“Si vous souhaitez entreprendre, vous ne choisissez pas forcément en premier lieu le meilleur comptable,” poursuit Stephan Destrooper. “Il faut être un visionnaire, qui réfléchit à la manière d’évoluer et de faire des bénéfices à partir de votre travail. Vandelanotte me permet de me concentrer sur mon entreprise. Tout ce qui a trait à l’administratif passe chez eux. La facturation numérique me fait gagner du temps et j’obtiens un aperçu beaucoup plus rapide de l’évolution de mes affaires. Mes actifs sont examinés afin de garantir tant mes avoirs privés que professionnels. Et pour toute décision en matière de croissance, par exemple l’investissement dans des machines ou un nouvel établissement, Vandelanotte fait office de caisse de résonance, qui, sur base de chiffres, sert à me rassurer. Il est important d’anticiper et de ne pas attendre d’obtenir des conseils au moment du bilan.”

Poursuivre les traditions

L’histoire de Stephan Destrooper est ponctuée par des sauts de croissance, mais se fonde sur le respect des traditions et de la transmission des bonnes choses. C’est ce qu’il trouve aussi auprès de Vandelanotte. “En 2000, Hein Vandelanotte et Ann Lauwers m’ont aidé à démarrer mon affaire. Depuis quinze ans, Jan Plasman est notre expertcomptable. Anne reste, toutefois à nos côtés et en cas de décisions cruciales, Hein Vandelanotte se montre toujours disponible. Vous remarquerez que Vandelanotte est aussi une entreprise familiale, où le personnel est accessible, mais où aussi les relations de longue durée ont beaucoup d’importance. Une confiance intense peut ainsi se mettre en place,” conclue Stephan Destrooper.

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