/
/
/
/
vandelanotte assiste flex court europe dans le démarrage d’un siège français.
Lorsque la société « Flex Court Europe » de Gand a souhaité franchir les frontières belgespour s’établir en France, il s’est avéré que des difficultés insoupçonnées ne manquaient pas.Bureaucratie et réglementation excessive ont occasionné du retard et des grincements dedents lors du démarrage d’un nouveau siège. « Grâce à l’approche intégrée des différentsspécialistes de Vandelanotte et à leur assistance permanente, notre toute petite entreprise anéanmoins pu mener à bien ce projet », comme Dennis de Haese l’indique.
Flex Court est une marque de terrains de sport modulaires en matière synthétique, toujours fabriqués actuellement, qui a été créée aux États-Unis en 1996. Ce support de sport convient à la plupart des sports de ballon et de raquette pratiqués en plein air et en salles. En Europe, il est principalement utilisé pour des matchs de tennis et de basket-ball, mais il peut se transformer en un terrain multisports grâce à la combinaison de plusieurs marquages. Depuis 2011, Dennis de Haese est le distributeur exclusif des produits de marque Flex Court Europe dans toute l’Europe.
« Vu la nature et la taille de l’entreprise,il n’y a pas si longtemps encore, je travaillais toujours seul en me concentrant activement sur les municipalités, les communes, les établissements scolaires et les clubs de tennis », indique Dennis de Haese. « Ce n’est que lorsque des clients potentiels m’ont eux-mêmes appelé, parce qu’ils souhaitaient un mini terrain de sport dans leur jardin, que j’ai répondu à cette demande. Je voulais faire de la Belgique une vitrine présentant nos divers types de terrains auprès de plusieurs groupes cibles. Ceux qui ne connaissent pas notre produit aimeraient en effet d’abord l’avoir vu. » Les premières démarches ont été entreprises chez nos voisins du Sud en 2016. « La France est le marché le plus intéressant pour mon produit en Europe, voire dans le monde. D’une part, en raison de la taille du pays, mais bien plus encore en raison des régimes de subventions, dans lesquels l’autorité supérieure intervient à 85 voire à 100 % dans les frais de projets des municipalités et des communes. Il est toujours plus stimulant de disposer des budgets nécessaires. » (Rires) En France, les installateurs de supports de sport sont par ailleurs bien plus que de simples exécutants travaillant en sous-traitance, vu l’étendue du pays. Ils décrochent eux-mêmes les projets et vont ensuite faire personnellement leurs achats auprès des divers fabricants. Notre tâche consiste donc à les convaincre de travailler avec notre produit. »
Un peu de chauvinisme n’est pas étranger aux Français, avec un impact certain sur l’entrepreneuriat. « De 2016 à 2018, j’ai travaillé en France par l’intermédiaire d’un distributeur, mais lorsque l’on veut vraiment convaincre les municipalités et les établissements scolaires d’acheter son produit, il faut créer sa propre entreprise française. J’ai donc engagé le directeur commercial de mon distributeur - un Français avec 35 années d’expérience dans le domaine - et créé « Flex Court France ». Mais je n’avais moi-même aucune expérience en la matière. Depuis de longues années, je suis client de Vandelanotte pour mes entreprises belges - en Belgique, je distribue également du carrelage en P.V.C. pour sols industriels par l’intermédiaire de Q Access Flooring - ainsi que pour ma déclaration d’impôt des personnes physiques. C’est ainsi que j’ai appris l’existence de la cellule française spéciale de VDL, qui pouvait m’assister dans la création de la société et au niveau comptable. »
« Après coup, je peux dire que tout le travail de Vandelanotte s’est parfaitement déroulé. Le traitement de mon dossier par les autorités françaises a toutefois été bien plus difficile que je ne l’avais imaginé. C’est une sorte de « boîte noire », dans laquelle une entreprise n’a aucune idée de la manière dont se déroule le processus. Vous êtes enseveli sous une masse de papiers, de certificats et de dossiers. Le dépôt de l’acte constitutif auprès du greffe n’est que le début de l’aventure, car il faut ensuite faire toutes sortes de déclarations supplémentaires dont l’authenticité est vérifiée minutieusement et remise en question de manière quasi kafkaïenne. L’inefficacité est vraiment ancrée dans le processus public.
Heureusement, Vandelanotte m’a très bien accompagné et s’est pratiquement chargée de tout le travail. » « Dès que tout est en ordre pour l’acte constitutif, on reçoit son « Kbis ». Ce document officiel permet de transférer le capital de départ bloqué sur un compte sur un compte d’opérations courantes. Ce n’est qu’à ce moment-là - dans mon cas, un mois plus tard que prévu - que j’ai pu rémunérer mon collaborateur. Mais, les difficultés ne s’arrêtent pas là. Alors qu’en Belgique, le secrétariat social est le seul interlocuteur en matière d’occupation d’un collaborateur, en France, on est submergé par des institutions et des entreprises, qui vous font toutes sortes de propositions. Dans ce cadre, Vandelanotte filtrait ce qui était nécessaire et obligatoire de ce qui était juste des offres purement commerciales d’entreprises privées. » « Vandelanotte m’a assisté, tout au long du processus de création de l’entreprise. Le fait qu’ils tiennent également compte de mes autres entreprises, ainsi que de ma situation privée est évidemment très pratique. J’ai pu leur confier tout le travail : des structures actionnariales à la répartition des bénéfices, jusqu’aux questions juridiques et fiscales. Ils ont assuré un suivi complet et du fait de leur approche intégrée, je n’ai pas eu besoin de répéter chaque fois la même chose. Cette approche contribue certainement à la qualité de l’assistance.
Vandelanotte s’occupe toujours de la comptabilité courante de Flex Court France. À cet effet, ils ont un team qui travaille tant depuis la France que depuis la Belgique. Ils veillent en outre à ce que la fiche de paie de mon travailleur français lui soit envoyée directement et je ne dois donc plus servir d’intermédiaire à ce niveau. »
Grâce au bon travail collaboratif entre les spécialistes de Vandelanotte, nous avons pu mener ce projet à bonne fin.Dennis de Haese
« Si les autorités françaises fonctionnaient parfaitement, j’aurais éventuellement pu m’occuper seul de la constitution de mon entreprise. Ce ne fut pas un travail de tout repos pour Vandelanotte, en raison des nombreux événements imprévus et de l’inefficacité à laquelle nous avons été confrontés. Nous avons tout de même pu mener ce projet à bien, du fait que VDL ait à son service des spécialistes dans tous les sous-domaines, qui travaillent en synergie en interne. C’est précisément dans les projets difficiles, que l’on apprend à vraiment apprécier l’assistance dont on bénéficie. Je conseillerais à d’autres entrepreneurs qui tout comme moi souhaitent créer une entreprise à l’étranger, en partant d’une petite base, de se faire accompagner par des professionnels. En étant bien accompagné(e), rien ne devrait entraver vos projets ! »
Voulez-vous aussi être le conseiller de vos clients ? Trouvez votre emploi idéal sur travaillerchezvandelanotte.be.
Clause de non-responsabilité
Nos avis s'appuient sur la législation, les interprétations et la doctrine en vigueur. Cela n'empêche que l'administration peut les remettre en cause ou que les interprétations existantes peuvent changer.
Depuis ses débuts, il va sans dire que la pharmacie Lamoot de Flandre occidentale ne s’est pas reposée sur ses lauriers. Au fil des décennies, beaucoup de choses ont évolué, entraînant une augmentation du nombre d’établissements et d’embauches
Après des années de croissance organique, les fondateurs de VDV Advocaten souhaitaient développer davantage leur cabinet d'avocats. Conscients de l'importance d'un soutien solide, ils se sont tournés vers Vandelanotte pour leur projet de transfert. Avec succès !