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la valeur ajoutée de vandelanotte est évidente pour smo
La valeur ajoutée de Vandelanotte est évidente pour SMO
« Un jour sans défi est un jour perdu. » Il pourrait s’agir de la devise de Sander Mollet, gérant du constructeur de machines SMO bv à Eeklo depuis 2002. Afin de mettre au point sa politique du personnel et de soutenir le développement de machines innovantes, il a fait appel à Vandelanotte pour la demande et le suivi des subsides.
En passant ses week-ends et ses vacances à travailler chez des agriculteurs, des entrepreneurs, à cueillir des fruits, à capturer des poulets en pleine nuit chez un éleveur, Sander Pollet a appris beaucoup plus de choses sur le terrain que sur les bancs de l’école. « Comme la capture des poulets était un travail sale et fastidieux, j’ai imaginé une machine à capturer les poulets la dernière année. J’ai élaboré le concept théorique et j’ai commencé à la construire avec mes épargnes. C’était évidemment naïf, car j’ai directement épuisé toutes mes économies. Pour pouvoir continuer à évelopper mon concept malgré tout, j’ai cherché des missions rémunérées dans l’industrie. C’est là que j’ai pioché sans cesse de nouvelles idées. À l’heure actuelle, SMO compte 50 collaborateurs et travaille toujours sur ces deux pistes : d’une part, les réalisations sur mesure (un client a un problème, que nous résolvons) et d’autre part, nous avons nos propres marques et produits en fonction des niches que j’ai détectées sur le marché. Ce qui est important, c’est que tout est fait en interne afin de maîtriser complètement la qualité et le service. »
« La plupart des constructeurs de machines ont une spécialité. Pas moi. Nos produits s’étendent des cribleuses qui nettoient le sol (nom de la marque : FleXiever) aux machines de laboratoire qui étudient les plantes (WIWAM), en passant par plusieurs innovations destinées à l’industrie alimentaire (PINTRO). Ces dernières années, je me concentre, avec notre équipe en charge des logiciels, sur des projets qui associent des caméras et des robots. Dans notre machine à brochettes unique par exemple, des caméras 3D sélectionnent les morceaux de légumes et de viande adéquats afin que le robot sache quel morceau il doit piquer sur quelle brochette. Nos machines sont vendues dans le monde entier, tandis que les réalisations sur mesure concernent plutôt la Flandre. »
Vandelanotte accorde une importance particulière au service. Les dames qui suivent nos dossiers s'impliquent réellement et réfléchissent à ce dont nous avons besoin.Sander Mollet , SMO
« Mon premier objectif est que chaque collaborateur aime son travail. Dans un petit groupe, on peut rapidement savoir qui ne se sent pas bien dans sa peau. C’est plus difficile dans une entreprise. Le FSE délivre des subsides pour analyser votre politique du personnel et la renforcer de manière ciblée, mais un projet FSE est un véritable dédale pour les profanes, d’une lourdeur administrative considérable. C’est pour cette raison que j’ai contacté Vandelanotte », explique Sander. « Sans eux, je n’aurais pas su par où commencer ce dossier FSE. Ils nous ont aidés pour le dossier de demande, se sont chargés des différentes étapes pour le suivi et ont participé à la rédaction du rapport final. Nous avons beaucoup appris, car c’est toute notre politique du personnel qui a été passée au crible.
Nous ne l’aurions peut-être jamais fait spontanément. Grâce à ce projet, nous avons appris que notre politique salariale était déjà conforme au marché, mais que notre politique d’accueil pouvait être étendue et qu’il y avait une demande de formation dans notre département de développement. Notre protocole d’embauche est maintenant terminé et nos évaluations sont encore plus détaillées et structurées. Je dois le concéder, j’ai directement été impressionné par la qualité de Vandelanotte. Ils se donnent à fond. Je les ai donc déjà recommandés à plusieurs reprises », poursuit-il.
L’innovation à un prix abordable
« On peut aussi demander des subsides au VLAIO pour nos propres idées que j’estime prometteuses. Le projet WIWAM est un gros dossier constitué d’une dizaine de parties. Ainsi, après avoir étudié les plantes, nous voulions aussi pouvoir en examiner les racines. Nous développons donc des installations mobiles pouvant être utilisées hors laboratoire. Les trois autres projets font partie de PINTRO. Outre la machine à brochettes, il y a également une machine qui fait des chipolatas, une tâche jusqu’à présent manuelle et très exigeante que personne n’aime faire. Lorsque j’ai une nouvelle idée en tête, les collaborateurs de Vandelanotte viennent m’écouter et me poser des questions. Ils se font l’avocat du diable. Le fait qu’ils soient pessimistes à notre place est une bonne chose, car c’est aussi ce que font les évaluateurs du VLAIO lorsque vous devez aller défendre votre dossier. Ensuite, ils décident s’il est intéressant de constituer un dossier, parfois après avoir tâté le terrain auprès du VLAIO. Si le projet est subsidiable, nous fournissons tous les éléments et les collaborateurs de Vandelanotte constituent le dossier. Après l’approbation, ils assurent le suivi et donnent un feed-back sur nos rapports intermédiaires, tout comme sur le rapport final. »
« Le VLAIO subventionne 45 % des frais de développement de notre machine parce que nous sommes une petite entreprise. C’est considérable et extrêmement motivant. Sans ces 45 %, je n’aurais pas pu développer autant de machines. Cela nous permet également de renforcer nos propres connaissances et de les conserver. Ainsi, dans le projet WIWAM, nous étions initialement très forts dans le volet mécanique, pour déplacer les plantes au bon endroit. Nous avons acheté d’autres connaissances chez des externes, mais nous sommes devenus trop dépendants et avons payé beaucoup trop. De plus, nous ne gérions pas le service pour ce volet. À présent, non seulement nous acquérons ce savoir-faire en interne, mais celui-ci vient aussi à point dans d’autres projets auxquels nous nous attaquons. »
Implication et service à la clientèle
« Vandelanotte accorde une importance particulière au service. Les deux dames qui suivent nos dossiers s’impliquent réellement et réfléchissent à ce dont nous avons besoin. Elles m’appellent spontanément pour me demander comment ça se passe. Et lorsque nous avons eu un différend concernant une facture, nous avons trouvé un bon compromis. Ce style me plaît beaucoup : ne pas camper sur ses positions, mais chercher un compromis qui convient aux deux parties. Puis, continuer. Cela instaure un climat de confiance. Si je devais changer de comptable, je ferais certainement appel à eux. »
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