/
/
/
/
un transfert d'entreprise en douceur pour alsic
Après 25 ans, Dierik Vermeir a quitté son entreprise Alsic. Un grand pas, mais grâce aux conseils de Vandelanotte, il a pu le franchir avec confiance. Vandelanotte a pris en charge l’évaluation, la recherche d’un acheteur approprié et le traitement juridique de la transaction.
En 1997, Dierik Vermeir a fondé Alsic, une société d’ingénierie et de conseil spécialisée dans la gestion de la chaîne d’approvisionnement. L’entreprise est spécialisée dans la navigation intérieure. Dierik donne un exemple : « Lorsqu’un batelier navigue de A à B, il doit passer par des écluses et sous des ponts. Nous optimisons l’itinéraire en fonction d’une série de données. Si un batelier se trouve à 2 heures de l’écluse, mais qu’il ne peut passer que dans 3 heures, notre logiciel lui conseille de naviguer plus lentement, afin d’économiser de l’énergie et de réduire les émissions de CO2. » Outre Dierik et son épouse, la société emploie 21 personnes. « L’application que nous avons développée pour Vlaamse Waterweg (l’agence flamande des voies navigables) sera désormais déployée dans 13 pays. Un excellent résultat, mais qui signifie aussi que nous devons investir, à la fois dans du personnel supplémentaires et dans un bureau local en Europe de l’Est. » Alsic se trouve donc à un tournant, alors que Dierik a désormais dépassé la soixantaine. « Mes filles n’ont pas envie de reprendre l’entreprise. Nous savions donc qu’à un moment donné, nous devrions chercher un acquéreur. »
Dierik s’était donné encore 2 ou 3 ans pour y parvenir, mais le processus s’est accéléré par un concours de circonstances. En effet, outre l’arrivée de ce projet européen, il a également reçu une demande d’un acquéreur potentiel. « Je suis allé voir Tom Vermeersch, notre gestionnaire de compte chez Vandelanotte pour lui en parler. Nous avons toujours eu un très bon contact. Tom savait que nous voulions vendre l’entreprise dans les années à venir. »
Une telle vente est un processus difficile mentalement. Vous avez besoin non seulement d'un soutien technique, mais aussi d'une caisse de résonance.Dierik Vermeir , ALSIC
Le hasard veut qu’à cette époque Vandelanotte a commencé à se consacrer davantage à l’accompagnement en matière d’acquisitions et à la recherche d’acquéreurs. « Nous avons recruté Nico Daminet à cet effet l’année dernière, qui a beaucoup d’expérience dans le domaine des acquisitions », explique Veerle Buyl, associée responsable du département Corporate Finance. Nico et Tom ont parlé à Dierik. « J’ai alors été confronté au choix d’explorer davantage les possibilités, ou d’attendre quelques années de plus », dit-il. Il a décidé de continuer, mais à une condition importante : que la continuité puisse être assurée, tant pour les clients que pour les employés. « En même temps, j’ai choisi de me retirer en tant qu’actionnaire et de limiter dans le temps la période de transfert. Il fallait donc aussi chercher un nouveau PDG. »
En quelques semaines, Vandelanotte avait déjà trouvé environ quatre acheteurs potentiels. « Généralement, nous mettons d’abord l’entreprise en vitrine via un « mémorandum d’information », un profil d’entreprise décrivant ses forces et faiblesses et les chiffres clés. Avec cela, nous approchons des acquéreurs potentiels », précisent Veerle et Tom. « Mais comme Alsic est une entreprise formidable, nous avons pu sauter partiellement cette phase. » Après plusieurs discussions avec des acheteurs potentiels sur le prix et les autres conditions, la longue liste s’est transformée en courte liste, à partir de laquelle un acquéreur a finalement été sélectionné. Veerle explique : « Dans cette phase, en tant que vendeur, vous entrez souvent dans l’exclusivité. C’est alors que commence la due diligence, c’est-à-dire l’aspect technique du processus. Il s’agit de ce que l’on appelle le contrôle préalable, où les conseillers de l’acheteur vérifient si les informations fournies sont correctes. Ensuite, vous entrez dans la phase juridique, au cours de laquelle on traite les contrats. En premier lieu, le contrat de vente, mais aussi souvent d’autres contrats tels que le contrat de gestion, les contrats de prêt, les contrats de location, etc. L’ensemble du processus se conclut par le closing : le transfert effectif des actions. »
Un entrepreneur construit son entreprise pendant de longues années : la vente est la consécration de ce travail. Nous voulons donc en tirer le meilleur parti pour nos clients.Veerle Buyl , Vandelanotte
Vandelanotte dispose de toute l’expertise nécessaire pour évaluer une entreprise à céder, pour rechercher un acquéreur approprié, pour mener les négociations et enfin pour tout gérer sur le plan juridique et administratif. Pour Dierik, cette approche de A à Z a été un grand avantage. « Une telle vente est un processus difficile mentalement. Vous avez besoin non seulement d’un soutien technique, mais aussi d’une caisse de résonance. Pour moi, il était extrêmement important que je puisse me tourner vers Vandelanotte pour me faciliter le travail. »
Dans le cas présent, le processus a été achevé en six mois. Cela n’était pas seulement dû à la qualité de la société Alsic et à l’expertise des contreparties, mais aussi au fait que l’entreprise était déjà prête à être vendue. « Nous y travaillons depuis plusieurs années. Grâce à nos rapports, nous savions quels points nécessitaient une attention particulière. C’est un conseil pour tout entrepreneur : mieux votre entreprise est préparée pour une acquisition, plus vous gagnez du temps lors de la transaction », explique Tom. Veerle ajoute : « Grâce à notre implication, nous connaissons les vecteurs de valeur de nos entreprises. Ce sont eux qui déterminent le prix de vente ultérieur. Un entrepreneur construit son entreprise pendant de longues années : la vente est la consécration de ce travail. Nous voulons donc en tirer le meilleur parti pour nos clients », conclut-elle.
Voulez-vous également aider les clients à transférer leur entreprise ? Trouvez votre emploi idéal sur travaillerchezvandelanotte.be.
Clause de non-responsabilité
Nos avis s'appuient sur la législation, les interprétations et la doctrine en vigueur. Cela n'empêche que l'administration peut les remettre en cause ou que les interprétations existantes peuvent changer.